« Le mouvement démocrate du Val d’Oise dénonce fermement la pression inacceptable que le président du Conseil général du Val d’Oise fait peser sur la sécurité de ses administrés », déclare sa présidente Nathalie Elimas, faisant référence à la décision du conseil général ne pas octroyer l’intégralité de l’enveloppe de 600 000 euros promise à la plate-forme téléphonique du samu, qui répond aux appels du 15. Si déjà 360 000 euros ont été versés, les 240 000 restants ne le seront pas. Les élus de la majorité justifient cette décision par la dette de 120 millions d’euros de l’etat au département, somme correspondant aux transferts de compétences non compensés. |