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Mercredi 24 Avril 2024

A défaut des recommandations tant attendues, l’Observatoire de la laïcité a remis le mardi 25 juin un « rapport d’étape » après ses deux premiers mois de travaux. Son diagnostic ? Il n’y a pas de problème de laïcité en France !
Nous voilà bien avancés. Après le choc du jugement de la Cour de cassation dans l’affaire de la crèche Babyloup en mars dernier, François Hollande avait mis sur pied un Observatoire de la laïcité, présidé par Jean-Louis Bianco. Sa mission devait être d’émettre des recommandations sur la nécessité ou non d’étendre la loi sur la laïcité en vigueur dans le service public. 
Deux mois plus tard, en lieu et place des préconisations, l’Observatoire a remis mardi 25 juin une sorte d’« état des lieux » qui explique par le menu pourquoi ces préconisations sont… parfaitement inutiles.
« La loi de 1905 et celles qui l’ont suivie et complétées, ainsi que les jurisprudences de la Cour européenne des droits de l’Homme, du Conseil constitutionnel, du Conseil d’Etat et de la Cour de cassation donnent déjà un certain nombre de réponses précises », lit-on dans le rapport. Vraiment ? C’est pourtant la jurisprudence la plus récente qui a révélé le flou juridique autour de ces questions.
Dans la même journée, la Cour de cassation a validé le licenciement d’une salariée de la Caisse Primaire d’Assurance Maladie de Seine Saint-Denis, mais pas celui de l’employée de la crèche Babyloup. Toutes deux portaient un voile. La première n’entrait jamais en relation avec le public ; la seconde était en contact direct et permanent avec de très jeunes enfants. Vous avez dit absurde ?
Pourtant, Jean-Louis Bianco l’affirme : « la France n’a pas de problème avec sa laïcité », « on n’est pas face à un vide juridique ». C’est Natalia Baleato, la directrice de la crèche Babyloup, qui va être contente d’apprendre la bonne nouvelle.

 
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