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Dimanche 06 Octobre 2024

VIDEO. En immersion dans la cité tenue par les dealeurs

Une cité du Val-d’Oise est sous la coupe des trafiquants de drogue depuis un an. Nous avons vécu le quotidien des habitants pendant une journée.
Le jour ne s’est pas encore levé sur le Colombier. Les rues de ce quartier de Bezons (Val-d’Oise), coincé entre Argenteuil et Colombes (Hauts-de-Seine), sont encore calmes. Cette cité est pourtant devenue la proie des trafiquants de drogue depuis un peu plus d’un an. Ils ont investi les lieux faisant de la vie des locataires un enfer. C’est dans ce long bâtiment de 127 logements, géré par le bailleur social Logirep, qu’une famille a accepté de me recevoir pendant toute une journée, pour témoigner. Dans la plus grande discrétion, car ici les habitants vivent dans la peur ou dans la honte et n’invitent plus personne, même leurs amis. Reportage.

7 heures
Message de colère. Mon immersion commence dans une cage d’escaliers dont le sol est jonché de détritus. L’odeur d’urine et de nourriture froide est agressive. Sur des portes, des inscriptions bleues « Don’t look me » (« ne me regarde pas »), se démarquent des nombreux tags. « Une façon pour les guetteurs de nous mettre la pression », explique un habitant. Sur un mur jauni, un cri de colère répond au stylo noir : « Vous les dealeurs on vous maudit vous et vos familles qui vous ont mal éduquer. Inchallah on vous souhaite l’enfer ici et au de la. Vous grillerer en enfer (sic). »
Dans les couloirs, la méfiance règne. « Certains voisins peuvent faire partie du trafic, il faut se méfier de tout le monde », précise mon guide. Un locataire impliqué a d’ailleurs été expulsé cet été. Avant de rejoindre l’étage inférieur, un habitant part en éclaireur. Des voix résonnent du palier, chacun se fige. Personne à l’horizon. Il faut y aller, sans plus attendre. Là, un chariot dans lequel sont stockées des planches de bois « pour gêner le passage des policiers en cas de descente », nous attend. Un étage plus bas, une chaise de bureau indique la place du vendeur. L’odeur est encore plus infecte. Du hall démarre un labyrinthe de coursives qui communiquent entre elles. Un dédale parfait pour les trafiquants. Un guetteur est positionné à chaque étage.

.../...


Trafic de drogue : le cri d'alarme des... par leparisien

 
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