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Dimanche 01 Septembre 2024

SONDAGE - Selon une étude de l'institut CSA pour BFMTV, Le Figaro, Orange et Ricoh, l'UMP et ses alliés
sont en mesure d'infliger à la majorité une déroute comparable à celle de 1983.

À L'UMP, on redoutait l'impact des affaires Sarkozy, Copé ou Buisson sur la mobilisation de l'électorat à l'occasion du premier tour des municipales dimanche. La mesure du rapport de force politique national réalisée par l'institut CSA pour BFMTV, Le Figaro, Orange et Ricoh va mettre du baume au cœur des dirigeants de droite et raviver les inquiétudes à gauche.
Les intentions de vote mesurées auprès des électeurs des villes de plus de 3500 habitants donnent ainsi une large avance aux listes du centre ou de la droite sur celles de gauche. L'UMP, ses alliés MoDem ou UDI et les candidats divers droite sont crédités de 49% des intentions de vote contre 41% pour les listes PS, Europe Écologie, Front de gauche et divers gauche. En un mois, les intentions de vote en faveur des listes de droite progressent de trois points quand celles qui se portent sur des candidats de gauche reculent de deux.
Selon Yves-Marie Cann, directeur du pôle opinion du CSA, une partie de l'explication est à chercher dans l'évolution du potentiel de participation. Depuis le début de l'année, la part des personnes se déclarant certaines d'aller voter n'a cessé de progresser, passant de 52% en janvier à 57% en février et 59% à trois jours du premier tour. L'abstention risque malgré tout de battre le record de 2008, quand plus de 35% des électeurs avaient boudé les urnes.
La plus forte abstention de l'électorat de gauche par rapport à celui de droite semble également se confirmer. «Le différentiel droite-gauche gagne en importance et pourrait donner un avantage concurrentiel aux listes de droite», explique Cann. 69% des sympathisants de droite se déclarent ainsi tout à fait certains d'aller voter (trois points de mieux qu'en février) quand les sympathisants de gauche ne sont que 62%, un résultat équivalent à celui du mois dernier.
Si ces mesures devaient se vérifier dans les urnes dimanche, le scrutin serait marqué par un très net recul de la gauche par rapport aux résultats de 2008: dans les communes de plus de 3500 habitants, le PS et ses alliés avaient totalisé 47,6% des suffrages. La progression des listes de droite est en revanche plus limitée: les listes de la majorité de Nicolas Sarkozy et des divers droite avaient recueilli 44,6%, auxquels il faudrait ajouter au moins une partie des 3,8% réalisés par les listes du MoDem de François Bayrou, aujourd'hui le plus souvent associé à l'UMP.
«La gauche est en très net retrait par rapport au bon cru de 2008 ou même par rapport aux résultats de 2001 qui étaient plus balancés, note Yves-Marie Cann. À l'inverse, avec 49% des suffrages, la droite se rapprocherait des scores qu'elle a réalisés en 1983.» Deux ans après l'élection de François Mitterrand, le RPR et l'UDF avaient infligé une sévère défaite à la majorité en remportant une trentaine de villes de plus de 30.000 habitants. Moins spectaculaire, l'objectif de Jean-François Copé de remporter une cinquantaine de villes de plus de 9.000 habitants serait donc en bonne voie.
D'une étude sur l'autre, la droite bénéficie également d'un autre phénomène: le tassement mesuré par CSA des intentions de vote en faveur du Front national. Les listes d'extrême droite marqueraient le pas en passant de 8 % à 6 % en un mois, renforçant principalement les intentions en faveur de la droite.
A priori, ce phénomène vient contredire l'idée que Marine Le Pen et ses candidats pourraient profiter du climat délétère, entre les affaires de la droite et le rejet du gouvernement. En réalité, même si le FN se félicite de présenter un nombre record de listes cette année, le parti ne sera pas représenté dans 95% des communes de plus de 1000 habitants. «Les intentions de vote en faveur du Front national se sont tassées à mesure que les personnes interrogées ont découvert qu'elles n'auraient pas de candidat FN dans leur commune, souligne Yves-Marie Cann. Mais comparés au 1,1% de 2008 ou même aux 3,7% qu'avaient réunis les listes FN et MNR en 2001, 6% serait une progression très importante.»

 
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