Article N° 1539
01/07/2010 |
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Tweets concernant "Argenteuil" |
01/07/2010 |
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Une situation qui ne date pas d’hier et que connaît bien l’Adjoint aux Finances de Philippe DOUCET… principal artisan de l’endettement de notre ville entre 1995 et 2001 !
Le moins que l’on puisse dire, c’est que Philippe DOUCET ne pouvait pas ignorer la situation financière difficile de notre ville puisque Michel TETART, son adjoint aux Finances a déjà sévi durant les années 1995-2001 : C’est lui qui a durablement et massivement endetté Argtenteuil. Quelques chiffres à l’appui : Rappelons tout de même que la dette de cette ville gérée pendant plus de 60 ans par des municipalités successives de gauche a atteint en 2001 la somme faramineuse de 1 milliard 322 millions de francs de l’époque soit 201,6 millions d’euros.
En 1995, l’encours de dette de notre ville s’élevait à 759,5 millions de francs après une augmentation de 116 millions de francs pour la seule année 1995… en 2001, c’est un encours de dette de 1 milliard 322 millions de francs soit une augmentation de la dette pour un seul mandat de 562 millions de francs… 85,8 millions d’euros qui représentent une augmentation d’environ 74% de la dette de notre ville durant cette période ! Alors, évidemment, continuité républicaine oblige, cette dette nous l’avons gérée au quotidien pour dégager des marges de manœuvre budgétaires, augmenter nos recettes de fonctionnement tout en rétablissant une épargne positive durant presque tout le mandat…
La gestion active de la dette a porté ses fruits… jusqu’à ce qu’elle ne soit plus suivie !
Rapelons dès notre arrivée le chemin parcouru et les économies REELLES effectuées sur les intérêts de la dette : les frais financiers annuels sont passés de 10,7 millions d’euros en 1998 à 7 millions d’euros en 2006 traduisant une économie réelle d’une quinzaine de millions d’euros sur la période… Encore aujourd’hui la municipalité, malgré ses affirmations, continue de bénéficier de ces frais financiers réduits : 6,5 millions d’euros d’intérêts en 2010 contre 7 millions en 2009 ! Si la crise avait dû produire ses effets, l’emballement des intérêts aurait eu lieu depuis l’été 2008 !
Gérer c’est prévoir… la composition de la dette au 16/03/2008 ne doit évidemment pas être la même que celle au 30/06/2010 !... On appelle cela la « Gestion Active de la Dette » !
Que s’est il passé depuis près de deux ans et demi ? Pas grand chose si l’on en croit la situation à laquelle nous assistons… Ainsi n’oublions pas que la récente embauche d’un « spécialiste en matière de gestion de la dette » ne saurait rattraper ni l’absence d’un Directeur Général des Services pendant près d’un an, ni l’absence d’un Directeur Général Adjoint des Finances rapidement mis sur la touche après notre départ ! Ainsi, en pleine crise durant l’été 2008, on peut s’attendre à ce qu’aucune mesure n’ait été prise afin d’anticiper la dérégulation des taux, qui je le rappelle, permettent de réaliser de REELLES économies dans le cadre d’une GESTION ACTIVE DE LA DETTE !
En conclusion, Philippe DOUCET tente de rendre inévitable l’augmentation successive des impôts de 13,9% en 2009 (+6,8 millions d’euros), de 9% en 2010 (+4 millions d’euros) ainsi que la Taxe d’Enlèvement des Ordures Ménagères (+7 Millions d’euros)… mais contrairement à ce qu’il veut nous faire croire, les frais financiers n’ont pas flambé… on ne peut pas en dire autant des indemnités d’élus : en passant de 599545 € en 2008 à 925792 € en 2010, Philippe DOUCET a tracé la voie : + 54,4 % en 2 ans !
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