Article N° 1786
08/10/2010 |
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Commentaires
Le 10/10/2010 à 10:16:37 par Argenteuil.Politique à Argenteuil
Ne soyez surtout pas désolée de me contrarier, si le site peut aussi servir à faire émerger des (bonnes) idées pour la ville, tant mieux !
Ce que je voulais exprimer c'est que toutes les sommes que l'on peut engager pour des aménagements ne changeront rien à la pratique des fous du volant, malheureusement.
Je pratique le quartier en voiture et à pieds, bien que plus souvent, quand même en voiture.
En voiture, quelque soit l'heure à laquelle je passe je n'ai jamais vu le carrefour devenir un gigantesque parking, ce qui prouve que la régulation par feux fonctionne plutôt bien. Je ne suis pas sûr qu'un rond-point serait aussi efficace, avec le sens civique qui caractérise si bien nos citoyens. Il n'y a qu'à voir e rond-point Marcel Dassault aux heures de pointes ... Ou alors peut-être un rond-point régulé par feux tricolores.
A pieds, j'ai toujours traversé devant l'agence immobilière sans soucis particulier, mais je ne le fais pas 3 ou 4 fois par jour, non plus ...
Si ce passage pose problème, peut-être qu'un simple sur-élèvement de celui-ci suffirait.
Quand à l'occupation des trottoirs, il ne sont, effectivement pas très larges par rapport à la circulation piétonne par moment conséquente et que dire de leur état, à l'image de beaucoup de coins de notre pauvre ville, pas tous imputables à la municipalité actuelle, d'ailleurs.
Mais ce que je voulais mettre en avant, c'est le côté "faites ce que je dis mais ne faites pas ce que fais". La gauche s'empressant de critiquer toute personne du gouvernement demandant une loi ou un texte, une circulaire, après un fait divers qui suscite l'émotion, fait exactement la même chose, localement dans ce dernier cas, en demandant de transformer la rue et le carrefour après un "banal" accident de la circulation probablement imputable à un défaut d'attention d'un enfant concomitant au passage d'un véhicule de police qui n'avait, peut-être, pas tant de raisons d'emprunter le couloir de bus avec son deux-tons ...
Enfin, un autre point : quelle aurait été la réaction des témoins et des médias si l'accident s'était produit avec un bus et non un véhicule de police ? L'enfant n'ayant pas, semble-t-il entendu le bruit d'une sirène de police, à cause d'un casque de baladeur MP3 sur les oreilles, n'aurait probablement pas plus entendu le bruit d'un bus. Qui aurait-on accusé dans ce cas ?
Ne soyez surtout pas désolée de me contrarier, si le site peut aussi servir à faire émerger des (bonnes) idées pour la ville, tant mieux !
Ce que je voulais exprimer c'est que toutes les sommes que l'on peut engager pour des aménagements ne changeront rien à la pratique des fous du volant, malheureusement.
Je pratique le quartier en voiture et à pieds, bien que plus souvent, quand même en voiture.
En voiture, quelque soit l'heure à laquelle je passe je n'ai jamais vu le carrefour devenir un gigantesque parking, ce qui prouve que la régulation par feux fonctionne plutôt bien. Je ne suis pas sûr qu'un rond-point serait aussi efficace, avec le sens civique qui caractérise si bien nos citoyens. Il n'y a qu'à voir e rond-point Marcel Dassault aux heures de pointes ... Ou alors peut-être un rond-point régulé par feux tricolores.
A pieds, j'ai toujours traversé devant l'agence immobilière sans soucis particulier, mais je ne le fais pas 3 ou 4 fois par jour, non plus ...
Si ce passage pose problème, peut-être qu'un simple sur-élèvement de celui-ci suffirait.
Quand à l'occupation des trottoirs, il ne sont, effectivement pas très larges par rapport à la circulation piétonne par moment conséquente et que dire de leur état, à l'image de beaucoup de coins de notre pauvre ville, pas tous imputables à la municipalité actuelle, d'ailleurs.
Mais ce que je voulais mettre en avant, c'est le côté "faites ce que je dis mais ne faites pas ce que fais". La gauche s'empressant de critiquer toute personne du gouvernement demandant une loi ou un texte, une circulaire, après un fait divers qui suscite l'émotion, fait exactement la même chose, localement dans ce dernier cas, en demandant de transformer la rue et le carrefour après un "banal" accident de la circulation probablement imputable à un défaut d'attention d'un enfant concomitant au passage d'un véhicule de police qui n'avait, peut-être, pas tant de raisons d'emprunter le couloir de bus avec son deux-tons ...
Enfin, un autre point : quelle aurait été la réaction des témoins et des médias si l'accident s'était produit avec un bus et non un véhicule de police ? L'enfant n'ayant pas, semble-t-il entendu le bruit d'une sirène de police, à cause d'un casque de baladeur MP3 sur les oreilles, n'aurait probablement pas plus entendu le bruit d'un bus. Qui aurait-on accusé dans ce cas ?
Je ne veux pas vous "contrarier" sur un sujet qui est, au départ, suffisamment grave pour qu'on pense d'abord à ce petit garçon et à ses parents.
Mais revenons à ce quartier que je connais bien pour le pratiquer depuis longtemps.
Le rond-point était un projet d'une ancienne mandature et bien justifié. Sans doute passez-vous dans ce quartier en voiture. Je vous conseille de le faire à pied. Quand vous traversez le boulevard face à l'agence immobilière, dans "votre bon droit"; il y a souvent des voitures qui arrivent à toute vitesse du boulevard Jean Allemane ou de celui qui vient de la gare.
Croyez-moi, ce n'est pas une sinécure !
Essayez aussi de passer à pied sur le lieu où sont tous les arrêts de bus, de l'autre côté, entre les arbres, les poussettes ou les caddies à marché, alors que des hordes de collégiens, de lycéens arrivent. C'est quasiment impossible de passer, et il y a encore beaucoup de personnes agées dans le quartier. De plus les trottoirs sont pleins de trous et les clients du tabac vont fumer dehors !
Autrefois il y avait des arrêts-bus devant le square, ils ont tous été regroupés au même endroit.
Même dangerosité quand sortent les petits et que les mamans traversent au coin du boulevard et de la rue Michelet. Les bus peuvent se succéder dans les couloirs réservés et il faut "slalomer" pour passer.
Voilà un long "constat" vécu que personne dans le quartier ne contredira.
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