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Article N° 4457

12/03/2013
logo_leparisien.pngCoût : 300 000 ¤
Source

300 000 € : c’est ce que va coûter au Conseil général du Val d'Oise l’abrogation de la journée de carence dans la fonction publique. Cette journée de carence avait été mise en place par le précédent gouvernement. Depuis le 1er janvier 2012, en cas de congé maladie, le premier jour d’arrêt des fonctionnaires n’était en effet plus rémunéré. La ministre de la Fonction publique, Marylise Lebranchu avait annoncé sa suppression en février dernier.


[...]

Les frais "fixes" et obligatoires du Conseil Général augmentent et la seule façon d'augmenter les recettes est d'augmenter les impôts.
Autre solution : réduire drastiquement les frais de tout ce qui est facultatif. Adieu le social, merci Madame la Ministre.


Impôts, finances et fonction publique Conseil Départemental
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Commentaires

Le 15/03/2013 à 09:01:30 par triton à argenteuil
Cette mesure a été annoncée par le gouvernement Sarkozy, un affichage d'économies imaginaires et irréaliste a été communiqué, mais le dit-gouvernement s'est bien gardé de mettre la mesure en application, en laissant le soin à la gauche, sans l'assumer. On peut dire qu'il s'agit d'une entourloupe, puisque l'on a annoncé une réduction de dépenses qui n'a jamais existé, et que ce gouvernement a donc pu dépenser une somme qu'il n'a jamais économisée.

Par ailleurs, il faut noter que la mesure aurait touché essentiellement les femmes, qui semblent plus impactées physiquement par les évènements de la vie sociale. On a dit que cette mesure était bonne pour la fonction publique hospitalière, car elle réduisait les arrêts-maladie : mais à quel prix, doit-on voir des soignants venir travailler grippés, alors que le vétérinaire du contrôle sanitaire, un non-médecin, peut renvoyer chez lui un cuisinier malade qui risquerait d'infecter les clients ? Ce que peut faire un vétérinaire, un médecin ne pourrait le faire ? on ne reconnait pas assez la pénibilité des métiers de l'hôpital, et le droit de récupérer doit aussi accompagner l'attention apportée aux personnels, et si la féminisation présente l'avantage de réduire les prétentions salariales, il faut aussi prendre en compte certaines autres difficultés.

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