Coup de chapeau à Dominique Mariette (Conseiller municipal Lutte Ouvrière) ?

Nous ne sommes d'accord à peu près sur rien... et depuis longtemps. il ne nous ménage pas, et vice-versa, sauf que ce qu'il écrit sur son blog est assez bien vu. Pourquoi ne pas le reconnaître ?

Echo de campagne : liberté de réunion sans entrave
Une polémique s’est développée entre les candidats UMP et PS à propos de la disposition des salles municipales durant la campagne électorale, au point que le candidat UMP n’aurait pas pu tenir une réunion qu’il avait prévue dans le quartier d’Orgemont. Le maire-candidat PS s’appuie sur un « quota » de salles qui aurait été voté pour les réunions lors d’un conseil municipal.
Si c’est le cas, et que cela n’ait pas attiré notre attention, nous avons eu tort.
Les salles municipales, dont les écoles font par ailleurs partie, doivent être utilisées au maximum par les habitants, les associations, les partis politiques. D’autant durant une campagne électorale.
Bien évidemment, on n’est pas obligé d’aller écouter ceux qui tiennent les réunions et qui s’en prennent à cette occasion au monde du travail. Dominique Mariette.

On ne saurait mieux dire...

Additif : tiens, on vient d'apprendre que le Maire-candidat va tenir une réunion salle Saint Just lundi prochain 3 mars. Celle-là, il a « oublié » de la comptabiliser dans les prêts qu'il a déclarés à la presse vendredi. Amnésie ?

Georges Mothron respire. Poursuivi pour diffamation par le député maire PS d’Argenteuil, Philippe Doucet, à la suite d’un tract distribué au cours de la campagne des élections législatives de juin 2012, le conseiller général UMP (député sortant à l’époque) a été relaxé mardi après-midi par le tribunal correctionnel de Pontoise.
« Compte tenu du contexte électoral de l’époque, le tribunal a estimé que la limite n’avait pas été franchie, que l’on restait dans le cadre du débat politique, a rapporté hier matin son avocat, Me Laurent Lagardette.

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Viril mais correct, a finalement estimé le tribunal dont la décision est accueillie avec soulagement par l’ancien député-maire d’Argenteuil. Il n’avait pas franchement apprécié d’avoir à faire face aux juges. « Cela fait trente ans que je fais de la politique à Argenteuil ; c’est la première fois que me retrouve au tribunal », avait-il confié à l’issue de l’audience du 18 décembre.
Philippe Doucet a indiqué hier son intention de faire appel de cette relaxe.

Alors que certains parlementaires restent discrets sur le sujet, d’autres se prononcent sur le cumul des mandats sans pour autant passer à l’acte.

Ils attendent le vote de la loi. Philippe Doucet, député-maire (PS) d’Argenteuil, élude la question : « La loi n’est pas présentée, et son contenu pas déterminé ».

« Il n’y a pas encore de loi et, à mon, avis, elle ne sera pas appliquable en 2014 », assure Philippe Houillon, député-maire (UMP) de Pontoise.

Alain Richard, sénateur-maire (PS) de Saint-Ouen-l’Aumône, milite « pour un non-cumul des indemnités et un renforcement des règles de lutte contre l’absentéisme des parlementaires ».

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« Cela fait trente ans que je fais de la politique à Argenteuil, c’est la première fois que me retrouve au tribunal. » L’ancien député-maire d’Argenteuil Georges Mothron (UMP) a peu apprécié, hier après-midi, de devoir répondre de diffamation sur une citation directe de Philippe Doucet (PS), actuel député-maire, devant une chambre correctionnelle.
En cause, un tract distribué entre le 10 mai et le 1er juin dernier, lors de la campagne des législatives, qui comporte, selon l’avocate de Philippe Doucet, plusieurs passages diffamatoires.

Il y est question de l’augmentation de 82% de ses indemnités d’élu, « au mépris des Argenteuillais les plus modestes »; de la voiture avec chauffeur, « alors que la ville n’en a pas les moyens »; de « l’assassinat » de ses opposants, « y compris dans son propre camp », du « refus de la démocratie » et enfin du « bétonnage à outrance pour de basses visées électoralistes ».

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Echanges savoureux sur twitter entre un militant socialiste du Val d'Oise et M. Philippe DOUCET

Patrick Paquin .CumulDesMandats95 : 8/10 députés concernés. PS: Blazy, Lefebvre, Doucet, Pupponi. UMP: Houillon, Poniatowski, Chartier. MUP: Lecarpentier

Patrick Paquin ‏ : (Philippe Doucet, député ET maire d'Argenteuil ET conseiller général du Val d'Oise).

Philippe Doucet ‏ : merci d'arrêter de dire n'importe quoi. Je ne suis plus conseiller général. Je ne me suis pas représenté en 2011.

Patrick Paquin :Député et Maire d'Argenteuil, non?

Philippe Doucet : la loi n'interdit effectivement pas le cumul de ces 2 mandats aujourd'hui et pour votre parfaite information, le cumul de ces 3 mandats est déjà impossible aujourd'hui en France

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Le député-maire PS d'Argenteuil répond à une tribune sur les «cumulards» de la politique, publiée lundi dans «Libération».

Un avatar inédit de Bouvard et Pécuchet a livré lundi dans Libération sa réjouissante contribution au débat sur le cumul des mandats : «Haro sur les cumulards !». A l’instar des héros du roman de Flaubert, nos deux compères confirment, avec une obstination qui force l’admiration, qu’ils n’entendent pas grand-chose à la question dont ils prétendent doctement nous entretenir.

La question du cumul des mandats est aujourd’hui entendue. Elle a été inscrite dans le projet du Parti socialiste, reprise par le candidat François Hollande, qui, devenu président de la République, l’a confiée à la commission Jospin dont les élus sont absents.

Mais que ce débat soit ouvert n’autorise pas à dire tout et n’importe quoi au risque de verser dans un antiparlementarisme déplacé. Nos concitoyens s’en gardent bien, d’ailleurs, puisque très rares sont ceux qui me reprochent ce cumul. Comme sur d’autres sujets, il est frappant de constater que cette question de cumul disparait quand elle s’approche de la réalité. Une récente étude du Cevipof (1) éclairera, d’ailleurs, nos Bouvard et Pecuchet de circonstance. Il ressort de cette étude que le cumul des mandats ne joue en rien sur l’activité parlementaire, ni en quantité, ni en qualité. Autrement dit, on peut être travailleur et cumulard, travailleur et titulaire d’un mandat unique. La valeur n’attend pas le nombre des mandats, et inversement.

On peut donc en déduire que les élus qui «vaquaient à l’amélioration des bordures de trottoir» n’ont pas moins vu venir la crise que ceux qui n’y vaquaient pas. A défaut d’avoir vu venir cette crise, qui a surpris même les mieux informés, «améliorer les bordures de trottoir», c’est une manière de lutter contre ses effets et de nourrir la réflexion pour adapter la législation de notre pays. Améliorer les bordures de trottoir, ça veut dire construire et réparer des écoles, faire fonctionner des services publics de la petite enfance, de l’enfance, des services sociaux, c’est travailler et inventer pour garantir la sécurité de tous. C’est se démener pour obtenir le financement de la reconstruction d’un hôpital public, attaqué sans autre raison que la soif de profit par des cliniques privées. C’est gérer convenablement un budget pour pouvoir faire fonctionner des centres municipaux de santé qui sont les seuls points d’accès à la santé d’une partie de la population. C’est construire des logements accessibles à tous le long de ces fameuses bordures, dans un pays où près de 10 millions de personnes sont mal logées. C’est tenir à bout de bras le «vivre ensemble» dans nos villes déchirées par la violence économique et la crise identitaire.

Améliorer les bordures de trottoir, c’est faire tout cela et le reste dans l’indifférence absolue de l’appareil d’Etat. Car une partie du nœud du problème se situe quelque part par là. Quelle que soit la taille du territoire administré, tant qu’on n’est pas parlementaire, on travaille dans l’ignorance des services gouvernementaux et administratifs. Ca n’est pas un scoop. Ca n’en est pas moins une réalité ahurissante. Après plus de vingt ans de vie professionnelle dans le secteur privé, je n’ai pas plus que quiconque le goût des semaines qui ne finissent jamais et des agendas à rallonge. Mais il ne m’a pas fallu de longs mois de ce premier mandat de maire pour saisir que, bien qu’à la tête de la 3^e ville d’Ile-de-France, un mandat parlementaire aiderait efficacement ce territoire qui a plus servi de décors pour visites ministérielles que de cadre pour des politiques publiques. Lutter contre le cumul des mandats, c’est aussi, c’est d’abord répondre à cette question, cruciale. J’attends.

Extrait du JDD :

INTERVIEW : Le député socialiste de l’Aisne René Dosière, gendarme des dépenses de l’État, suggère des économies à François Hollande et prend position pour la suppression des cumuls des mandats.

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Vous évoquez 15 milliards d’économies…
Au bas mot, car les projets communaux sont également financés par l’État. Une meilleure gestion locale allégera également des dépenses de l’État de 2 à 3milliards. J’évalue en réalité l’économie autour de 18 à 20 milliards.

Les cumulards sauveront-ils une fois de plus leur statut?
C’est une promesse présidentielle. La fin du cumul, c’est l’assurance d’une France mieux gérée! Quand vous cumulez, ce sont les technocrates et les apparatchiks qui le font à votre place.

Vous proposez de supprimer la réserve parlementaire des sénateurs, mais vous épargnez celle des députés. Vous ménagez vos pairs?
Les sénateurs s’en servent souvent pour acheter des voix, pas les députés. Un sénateur a entre 300 et 2.000 électeurs, qui sont pour la plupart des maires de petites communes. La tentation est forte d’accorder çà et là une subvention pour s’assurer un renouvellement de mandat. En tant que député, je distribue en moyenne 40.000 euros par an à raison d’un millier d’euros par projet. L’impact électoral est faible, car j’ai plus de 70.000 électeurs. À l’Assemblée, elle doit être distribuée dans une plus grande transparence. En lisant un rapport de la chambre régionale des comptes, j’ai par exemple découvert que Philippe Marini avait perçu 3 millions d’euros pour la seule ville de Compiègne. Il faut savoir qu’un député de la majorité obtient en moyenne autour de 150.000 euros.

"Allez vous abandonner votre mairie comme vous le demande Martine Aubry ?". C'est la question à ne pas poser en ce moment à un parlementaire socialiste. Pour toute réponse... pas de réponse ou un embarras palpable. 

Septembre, c'est la date butoir fixée par le PS à ses parlementaires cumulards pour abandonner leurs mandats exécutifs locaux. Un engagement pris lors de leur investiture pour les élections sénatoriales ou législatives. En cette rentrée aucun élu socialiste valdoisien n'a l'intention de laisser sa mairie.

Si le patron du PS95 et maire de Cergy, Dominique Lefebvre confirme son projet de démissionner de la mairie en janvier 2013, d'autres ne sont pas aussi pressés. Difficile d'obtenir une réponse du député François Pupponi. Pas plus de réussite lorsqu'on lui demande s'il souhaite rester maire de Sarcelles jusqu'en 2014 ? D'autres parlementaires, malgré plusieurs sollicitations, sont restés injoignables à l'image de Philippe Doucet, député maire d'Argenteuil et président de la communauté d'agglorération Argenteuil-Bezons ou d'Alain Richard, sénateur maire de Saint-Ouen-l'Aumône et vice-président de Cergy-Pontoise.

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Vos députés fraîchement élus vont devoir faire un choix. Alors que le débat sur le cumul des mandats fait rage, huit députés-maires (quatre PS, un Mouvement unitaire progressiste et trois UMP) sur les dix que compte le Val-d’Oise sont dans le viseur d’une loi souhaitée par le président de la République.

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Dominique Lefebvre, député-maire PS de Cergy, l’a annoncé avant même de connaître les détails de l’éventuelle future loi interdisant le cumul des mandats. Il quittera la mairie de Cergy le 10 janvier 2013 lors de la cérémonie des vœux.

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Ils ne nous répondent pas
Fraîchement élu, le député socialiste Philippe Doucet et maire d’Argenteuil est lui aussi muet sur le sujet. Au soir de sa victoire, il avait cependant indiqué qu’il conserverait son mandat de maire dans l’immédiat

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Les 282 députés élus sous l'étiquette du Parti socialiste tiendront-ils leurs engagements en matière de non-cumul des mandats ? Pour obtenir l'investiture du parti aux législatives, tous se sont engagés, par écrit, à respecter un principe voté par les militants dès 2010 : abandonner d'ici à septembre leurs mandats exécutifs locaux s'ils étaient élus ou réélus les 10 et 17 juin, sans attendre l'éventuel vote d'une loi sur le sujet. François Hollande lui-même avait prévenu, le 12 octobre 2011, que s'il était élu, ce principe serait applicable "dès 2012 pour le Parti socialiste" (voir la vidéo). Une promesse qui, depuis, semble tombée aux oubliettes.

Chers amis,

Je vous invite à nous retrouver mardi 26 juin à partir de 20h autour d’un cocktail au Moulin d’Orgemont, 2 rue du Clos-des-Moines.
Ce sera une manière conviviale de conclure la belle campagne citoyenne que nous avons menée ensemble et de vous remercier de votre engagement. Nous avons gagné nettement face au député sortant membre de la droite populaire. Une page nouvelle s’ouvre pour les deux villes de notre territoire.
J’espère avoir le plaisir de vous retrouver ce mardi.
Merci de confirmer votre présence par retour de mail ou par sms au 07 88 10 00 22. 

Si vous avez des difficultés pour venir au Moulin d’Orgemont, merci de nous le signaler pour que des covoiturages soient organisés à partir de la gare du centre-ville d'Argenteuil.

Philippe Doucet, Député du Val d'Oise

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Le maire d’Argenteuil — entre deux poignées de main et des félicitations —, se rend dans l’hémicycle, où les élus sont invités à prendre la pose. « A la télé, ça paraît plus grand », réagit le député qui foule le sol de cette pièce pour la première fois. « Je n’y étais jamais allé auparavant, je suis superstitieux », lâche-t-il. C’est en ce lieu « important » que Philippe Doucet compte bien « porter le territoire d’Argenteuil et Bezons. Nous avons besoin d’exister, nous avons des enjeux importants comme la question du logement, de l’emploi des jeunes… il va falloir trouver des solutions et faire connaître notre territoire plein d’atouts exceptionnels et tourner la page de la racaille… » martèle le député. Plus question d’être vu avec le bonnet d’âne, Philippe Doucet espère bien faire partie des bons élèves.

Pour la première fois, la circonscription d’Argenteuil-Bezons a un député socialiste. Philippe Doucet réussit son pari là où un certain Manuel Valls avait échoué en 1997. Dimanche soir, le maire d’Argenteuil a été élu largement avec 59% des voix face à l’UMP Georges Mothron.

Nous sommes aujourd’hui, 18 juin 2012, meurtris par les résultats des élections législatives un peu partout en France mais cette journée est l’occasion de rendre hommage à l’action et au combat de Georges MOTHRON, Gaulliste de toujours qui, une fois de plus, à mis toutes ses forces dans cette bataille pour l’avenir d’Argenteuil et de Bezons.

Je tiens également à remercier Olivier Régis, son suppléant pour le travail accompli sur Bezons et plus largement tous ceux qui, au nom des valeurs que nous défendons, ont livré un combat exemplaire.

Plus que jamais, notre détermination est intacte pour combattre autour des valeurs qui sont les nôtres et pour lesquelles des milliers d’Argenteuillais et de Bezonnais nous ont fait confiance.

Georges MOTHRON, vice-président du Conseil général, reste bien évidemment le chef de file de l’opposition argenteuillaise rassemblée autour des 3 conseillers généraux élus en Mars 2011.

A l’évidence, et constatant les résultats un peu partout en France, les Argenteuillais et les Bezonnais ont plus souhaité donner une majorité à François Hollande que porter Philippe Doucet à l’Assemblée Nationale... Il n’en reste pas moins que cette élection est un très mauvais signal pour l’avenir d’Argenteuil !

Malheureusement, il semble que les français aient été plus sensibles aux vaines promesses et aux chimères que constituent le maintien de la retraite à 60 ans, l’augmentation de l’allocation de rentrée scolaire... Et plus généralement la perspective de "lendemains qui chantent" !

Nous le savons bien, les socialistes n’ont pas leur pareil pour distribuer l’argent des autres et notamment celui qu’ils ne possèdent pas en endettant les collectivités territoriales dont ils ont la charge : En Val d’Oise, il leur aura seulement fallu trois ans pour augmenter de 62% la dette de notre département !

Cette politique appliquée en Val d’Oise durant trois ans, nous allons la subir au plan national durant cinq ans... Oui, je l’affirme, ce 18 juin est une date idéale pour "entrer en Résistance" !

Au moment ou partout en Europe, les Etats "serrent les boulons" pour affronter la crise durable que nous traversons et qui va perdurer, il semble que la France ait choisi de vivre en dehors des réalités.

Nul doute que les prochaines augmentations d’impôt et de charges sociales salariales et patronales prévues pour cet été, compte tenu de perspectives de croissance revues à la baisse, vont rapidement ramener les Français au coeur des réalités économiques et sociales de notre pays !

Pour ma part, je tiens a réaffirmer tout mon soutien à Georges MOTHRON, collègue au Conseil général et ami de longue date, pour aujourd’hui et pour demain.

Dès aujourd’hui, avec également Philippe METEZEAU, nous sommes aux rendez-vous qui jalonnent la vie municipale et départementale avec ce matin, la commission permanente du Conseil général du Val d’Oise, et cet après-midi, la commémoration de l’appel du 18 juin 1940... Tout un symbole !

Chers amis,

Je souhaitais vous adresser par ce bref message tous mes remerciements, vous qui avez non seulement voté pour moi mais qui m'avez aidé comme jamais je ne l'ai été dans une campagne électorale, cela, dans un contexte si difficile du fait des résultats de l'élection présidentielle.

Pour tout cela, je souhaite vous témoigner toute ma gratitude et mon amitié.

Restons aux aguets pour les élections municipales dans 20 mois!

Bien à vous,

Georges MOTHRON et Olivier REGIS

Après les résultats de l'élection législative d'Argenteuil-Bezons , je tiens à exprimer ma tristesse et le sentiment d'injustice et d'incompréhension que j'éprouve.
Je témoigne toute ma reconnaissance à Georges Mothron qui a représenté notre ville durant 3 mandats à l'Assemblée Nationale, et qui reste un acteur important de la politique locale et départementale. Je l'assure aussi de mon amitié et de ma fidélité.

Je prends acte de l'élection du nouveau député.

J'espère qu'il observera dans l'exercice de son nouveau mandat une attitude plus digne et un comportement plus républicain que celui qui est le sien dans son mandat de Maire.

Quant à moi, avec Georges Mothron et les nombreux amis qui nous entourent, je reste plus combatif que jamais.

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Sur la 5e circonscription (Argenteuil-Bezons), le socialiste Philippe Doucet (photo) s'impose avec 59,27% de suffrages face à Georges Mothron. 6079 voix séparent les deux candidats. Le sortant a très vite reconnue que c’était « râpé ». Philippe Doucet pouvait savourer sa victoire dès 21 h. « Mon adversaire est devenu ce soir, une nouvelle fois, mon prédécesseur », déclarait dans la soirée le socialiste qui a avait déjà battu Georges Mothron aux municipales.

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Le 10 juin 2012, il y avait sur la 5ème circonscription seulement deux candidats se revendiquant de la majorité présidentielle avec François HOLLANDE. Moi même et Philippe DOUCET. N’étant pas membre du parti socialiste nous n’avons pas eu le droit d’utiliser dans nos publications officielles la terminologie de « majorité présidentielle » ni la photo du Président.

Ce soir, au nom du Collectif Citoyen 95, je suis ravi de la victoire l’ensemble de la gauche au plan national et JE PRENDS ACTE DE LA VICTOIRE de Philippe DOUCET sur Argenteuil-Bezons , qui siègera dans la majorité présidentielle comme je l’aurais fait si j’avais été élu.

Je souhaite bonne chance à Philippe DOUCET,  pour notre circonscription et je lui demande d’annoncer très rapidement qu’il renonce à son mandat de Maire et de Président de l’agglomération comme le suggère François HOLLANDE afin de se consacrer totalement à sa circonscription, comme je m’étais engagé si j’avais été élu à ne cumuler AUCUN AUTRE MANDAT A CETTE FIN.

Espérant que cette évidence sera dans les faits respectée par Philippe DOUCET et quant au Collectif Citoyen 95 fort des nombreux encouragements reçus depuis 2 mois, nous tenons à confirmer que nous sommes bien là sur ARGENTEUIL, pour les échéances à venir et pour mettre en place ce que nous avons appelé une vigilance active vis à vis de notre nouveau député,  dont l’élection est toutefois incontestable. Nous maintiendrons notre approche pour un véritable rassemblement sur Argenteuil, de la gauche , de l’écologie, des républicains et des démocrates, mais aussi des associations et des syndicalistes pour l’expérimentation d’une politique originale locale mixant démocratie représentative et démocratie participative que nous allons proposer dans les toutes prochaines échéances politiques à venir pour nos quartiers et cités populaires.

Jean Pierre ZOLOTAREFF, Président du CC 95

 Résultats des élections législatives 2012 Val-d'Oise - 5ème circonscription
Argenteuil - Bezons

Chacun est libre d'exprimer son opinion.

Ainsi s'est constitué le comité de soutien à Philippe DOUCET.

Une lecture, même rapide, des noms qui y figurent ne manque cependant pas d'étonner. Surtout lorsque les membres mettent en avant une fonction et engagent ainsi, peut être malgré elles, un service public, une association subventionnée par la Municipalité, une entreprise. C'est plus ennuyeux.

La loi est la même pour tous.

Comme vient de le rappeler l'Inspection académique (voir blog de Georges Mothron et blog de Xavier Péricat), un directeur d'école à un devoir de réserve. Un rappel à l'ordre lui a été adressé.

Un Président d'association m'écrit qu'il a commis une "maladresse" en ne précisant pas à M. Doucet qu'il ne fallait pas mentionner ses responsabilités associatives ou professionnelles. Du coup il démissionne de la présidence de cette association qui perçoit des fonds publics.

Les photos aussi appellent notre attention : un militaire de carrière en uniforme (l'homme est respectable, mais son geste de nature à engager l'armée française derrière Philippe Doucet est pour le moins surprenante !!!). Va t il cette fois encore avaler son képi ?

Que dire de ce journaliste qui se retrouve membre du comité de soutien, et déclare dans un communiqué de presse qu'il ne soutient pas Doucet ? 

Que dire de ces personnes ayant assisté à une reunion d'appartement avec le candidat Doucet, qui ont distraitement signé une déclaration sans la lire attentivement.. se retrouvent soutien public de M. Doucet ? 

De ce commerçant qui n'avait pas bien compris... et qui ne veut surtout pas démentir, car il ne voudrait pas être mal vu par la Mairie...

Le système Doucet fonctionne à plein.

Curieusement, tous ces regrets et maladresses s'accumulent 48 h. avant l'élection. PouIls ne gèneront pas M. Doucet dont la campagne finit ce soir a minuit. Sûrs de ne pas être repris dans la Presse, certains de ne pas trop déplaire au candidat. Ca s'appelle je crois ménager la chèvre et le choux. Pour certains, ça pourrait s'appeler hypocrisie. Pour d'autres, c'est la peur, tout simplement.