Quatrième visite de quartier cette année pour Georges Mothron et les élus de l’opposition municipale.Samedi 7 septembre à partir de 10 heures, ils iront à la rencontre des Argenteuillais dans les rues du centre-ville en 10 étapes :

1. Boulevard Allemane devant Monoprix - à partir de 10 heures
2. Marché de la Colonie
3. Gare SNCF
4. au 9, rue Pierre Joly
5. au 48 rue P.V. Couturier
6. Avenue Gabriel Péri devant Babou - à partir de 11 heures
7. Esplanade Allende
8. Basilique Saint-Denys
9. Rue du 8 Mai devant Intermarché
10. Salle Jean Vilar à l’occasion du Forum des Associations - à partir de 12 heures

La transformation de la RD 311 en boulevard urbain à Bezons et Argenteuil permettra d’améliorer la circulation des différents usagers et de rendre les berges de la Seine aux promeneurs.

« LA TRANSFORMATION RADICALE DE LA VILLE DE BEZONS, AUTOUR DU QUARTIER DE LA TÊTE DE PONT,
PROVOQUÉE PAR L’ARRIVÉE DU TRAMWAY, A RENDU LEUR ATTRACTIVITÉ AUX BORDS DE SEINE.
LA REQUALIFICATION DE LA RD 311 VA ACCOMPAGNER CETTE MUTATION.»
Philippe Sueur, vice-président du conseil général en charge des infrastructures et des transports.

Le tramway t2, à Bezons, a bien des effets bénéfiques pour les Valdoisiens. Le conseil général a décidé, en mai, de donner une suite à ses travaux autour du pont de Bezons. Le franchissement dénivelé de la RD 392, pour des travaux estimés de 12 à 14 millions d’euros, permettra de libérer les berges de Seine occupées par la RD 311. « Cette réalisation concrète est le coup d’envoi de l’ambitieux projet départemental de transformation de la RD 311 en boulevard urbain », se réjouit Xavier Péricat, conseiller général du canton d’Argenteuil Ouest.

UNE VOIE SÉCURISÉE POUR TOUS LES USAGERS
Devenue RD 311 en 2006, cette voie qui met en contact le Val d’oise avec les départements voisins, Hauts-de-Seine, Yvelines et Seine-Saint-Denis supporte une fréquentation importante. La mise en service du tramway t2 à Bezons et l’installation de nombreux immeubles contribuent à la transformation de cet axe devenu plus attractif.
Le projet de boulevard urbain proposé par le département conservera deux fois deux voies de circulation, mais la réduction de la largeur des voies permettra d’intégrer des pistes cyclables et des chemins piétonniers du côté de la Seine. La limitation de la vitesse, localement à 70 km/h, n’affectera pas son rôle de liaison structurante et sa capacité à prendre en charge le trafic.

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Choisir de traiter tout à la fois au sein de la même séance, les comptes administratifs de la ville, le débat sur le Plan d’Aménagement et de Développement Durable, la délégation de Service Public du Stationnement, l’armement de notre Police Municipale et la réforme des rythmes scolaires sur notre ville traduit avant tout une volonté de bâcler les débats et de passage en force des délibérations ! : Retour sur une ambiance houleuse de fin de règne avec l’essentiel de mon intervention en séance sur les données financières.
Cette année encore , aucune communication financière sur le CA 2012 : Le droit à l’information des conseillers municipaux n’est pas respecté, la démocratie n’est plus respectée dans cette assemblée !
En choisissant une nouvelle fois de ne communiquer aucun élément d’explication sur le compte administratif 2012, Philippe DOUCET et son équipe montrent une bien piètre image de la démocratie !
Nous répétons avec force que jamais depuis près vingt cinq ans que je suis l’actualité municipale et notamment financière de notre commune, une équipe d’opposition n’avait eu à déplorer le déni de démocratie auquel nous assistons une nouvelle fois ce soir ! : Que ce soit durant le mandat de M. Montdargent, celui de M. Ouvrard, celui de M. Mothron, les équipes d’opposition ainsi que l’ensemble des conseillers municipaux avaient pu bénéficier des analyses et des commentaires du compte administratif de l’année écoulée par la direction des Finances ! ! ! « Pourquoi dissimuler à ce Conseil municipal les principaux éléments de ce compte administratif ? » Les élus quelle que soit leur couleur politique, opposition, majorité… à la marge de la majorité, ont le droit à un minimum d’informations ! : « Faut il que les résultats soient si mauvais que vous préfériez les cacher plutôt que les défendre ? ! » insiste Xavier PERICAT, Conseiller municipal d’Argenteuil…

C’est vrai qu’un graphique qui montre une dette qui augmente de 20 millions d’euros en un an… çà ferait tâche dans le paysage !

Cette année encore, non seulement nous ne disposons d’aucune explication sur ce compte administratif mais ce document n’est même pas distribué à l’ensemble des élus de l’opposition et nous devons nous contenter d’un document au format numérique, un document « pdf » de plus de 200 pages… en vérité, tout est fait pour saboter le travail de l’opposition ! Alors sans doute va-t-on nous dire que c’est pour économiser du papier et faire dans le développement durable… quand on voit la Com’ qui est faite avec l’argent du contribuable laissez-moi rire ! : C’est encore un bel exemple de démocratie qui nous est infligé ce soir !

La dette de la ville continue d’augmenter malgré une montée en charge de la dette de l’Agglomération qui pose problème pour l’avenir du territoire.

Qu’importe les analyses que auriez pu nous communiquer les chiffres parlent d’eux-mêmes et leur lecture est encore mauvaise nouvelle pour Argenteuil : toutes les marges de manœuvre de la ville d’Argenteuil sont à présent consommées et cette situation n’a d’égale que celle que nous avons récupéré au Conseil Général l’an passé !
Vous faites à la ville et à l’Agglomération ce que vous et vos amis ont fait au Conseil général : De la dette… après avoir consommé toutes les marges de manœuvre en matière fiscale : Rappelons tout d’abord que ce compte administratif 2012 engrange les augmentations successives d’impôts subies parl es Argenteuillais au cours de ce mandat avec un niveau record pour le chapitre 73 – celui consacré aux contributions directes – de 76,2 M€.
Pour que cela parle au public, en 2008, la Taxe d’Habitation et la Taxe foncière représentaient moins de 41 millions d’euros… aujourd’hui ces deux taxes pèsent à elles seules près de 54,2 millions d’euros (53 millions en 2011) ) : 13,2 millions de plus pris chaque année dans la poche du contribuable !

Avec la TEOM, 8 millions d’euros pour sa partie argenteuillaise, c’est en tout plus de 21,2 millions d’euros
qui sont prélevés dans la poche du contribuable !

Avec cela, on aurait pu penser qu’une partie aurait au moins été affecté au désendettement … mais non il n’en est rien : En 2012, la dette de notre ville a encore progressé puisque vous avez emprunté de nouveau 24,5 M€ pour ne rembourser que 10,5 M€ … le calcul est vite fait c’est 14 millions d’euros de dette supplémentaire minimum en 2012 sans tenir compte des différés d’amortissement : A cet égard, la comparaison des encours de dette des comptes 2011 & 2012 fait apparaître la vérité des chiffres : 212,6 M€ fin 2011 contre 231,1 M€ fin 2012 et évidemment sans compter l’Agglomération Argenteuil-Bezons qui continue de s’endetter allègrement tant au niveau de la dette propre que de la dette garantie ainsi qu’en témoigne le scandale de la vente des logements sociaux de Montigny dont l’Agglomération garantit les emprunts alors que ces logements ne figurent même pas sur notre territoire !

Les frais financiers restent à un niveau que beaucoup de communes nous envieraient … la mise en scène des emprunts toxiques a fait long feu !

Avec seulement 7,6 millions d’euros de frais financiers en 2012, les chiffres démontrent que l’annuité de la dette est parfaitement conforme à nos attentes… 7,6 millions d’euros pour une dette de 231 millions d’euros, c’est une nouvelle preuve que la dette de cette ville été bien gérée durant la période 2011-2008.
Ainsi toute l’argumentation que vous avez développée depuis quatre ans sur les emprunts toxiques qui seraient la cause de tous nos maux… qui vous auraient obligé d’augmenter les impôts etc… etc… tombe à l’eau ! La ville d’Argenteuil paye 30 % de frais financiers en moins qu’en 1998 ou qu’en 2002 et ce, bien que sa dette ait augmenté depuis cette période.

Quelques chiffres issus des CA 1998 & 2012 :

• 1998 : Dette : 171,4 M€ => Frais financiers : 10,1 M€
• 2012 : Dette : 231,1 M€ => Frais financiers : 7,6 M€

Démasquée donc l’opération de Com ‘ qui vous laisse l‘entière responsabilité de l’augmentation des impôts !
Cette stabilité de l’annuité de la dette – preuve que l’encours n’était pas si mal géré que cela – est d’autant plus remarquable que l’endettement contrairement à ce que vous voulez nous faire croire, est en augmentation de près de 20 million et demi d’euros sur la seule année 2012 !
Démasquée enfin l’opération qui consiste à transférer la dette sur l’Agglomération d’Argenteuil-Bezons laquelle porte aujourd’hui une bonne part de l’investissement d’Argenteuil !

La dette passe de 24,2 M€ au 1er janvier 2010 à 46,9 M€ au 31 décembre 2010 à 64,1 M€ au 31/12/2011 et 70,9 M€ au 31/12/12. Fin 2013, compte des emprunts restant à courir et de ceux votés en mars dernier, le cadeau de fin de mandat à l’Agglomération c’est 100 M€ d’en-cours de dette.

En l’espace de 4 ans, vous avez donc épuisé toutes les marges de manœuvre de la ville et vous aurez triplé la dette de l’Agglomération : On ne peut s’empêcher d’y voir une similitude avec l’état de la dette du département du Val d’Oise durant les 3 années où vous avez sévi au sein de l’exécutif départemental !
Malgré cet endettement qui progresse, rien n’est mis en œuvre pour continuer d’apurer les créances irrécouvrables ! Dommage que le travail d’apurement de nos créances irrécouvrables ne soit pas poursuivi ! Nous avions consacré un million d’euros afin d’éponger les dettes de vos amis et prédécesseurs et ce, faut-il le rappeler sans augmenter les impôts ! Encore une occasion manquée, vous êtes au rendez-vous des occasions manquées… dommage que ce travail n’ait pas été poursuivi depuis votre arrivée et ce, malgré vos engagements pris auprès de la Chambre Régionale des Comptes : Cela aussi, ce la fait partie du cadeau de fin de mandat !
Pour conclure, je souhaite que ce compte administratif, vraisemblablement le dernier de ce mandat, soit l’occasion pour nous tous de titrer un trait sur des pratiques détestables qui n’honorent ni la démocratie ni les Argenteuillais que, nous tous, représentons ici.

L’heure du bilan est venue, bientôt viendra l’heure du verdict.
Souhaitons que les Argenteuillais sachent vous dire « Non » aussi vivement que nous allons le faire aujourd’hui !

En 2011, Philippe Doucet s’est fait retoquer son projet mal ficelé d’aménagement des berges de Seine estimé à 150 millions d’euros. Sa propre majorité socialiste au Conseil général a refusé de financer un projet pharaonique qui, de l’avis des experts, n’était ni de nature à limiter raisonnablement la circulation, ni à même de répondre à la problématique environnementale. Cet échec, le Maire d’Argenteuil l’a transformé en une fantastique occasion de perdre du temps et de réaliser (aux frais du contribuable) une belle opération de communication préélectorale. Ce ne sont malheureusement pas les aménagements qui ont poussé sur les berges mais plutôt des centaines de mètres de banderoles. Il faut cependant rester vigilants car les orientations que le Maire tente d’imposer conduiraient à une hausse massive de la circulation automobile dans le centre d’Argenteuil déjà saturé.
Pourtant, dès 2007, un projet global d’aménagement des berges était acté et financé. Les premiers travaux avaient même débuté dès 2005 dans la partie la plus à l’Est, au niveau d’Orgemont. Les remises en cause constantes et le refus de Philippe Doucet d’engager un dialogue constructif avec ses partenaires ont entraîné un énorme gâchis de temps et d’argent.
En bénéficiant du partenariat et des financements du Conseil général, les travaux d’aménagement des berges de Seine vont commencer à Bezons.
Pour Argenteuil, la nouvelle majorité au Conseil général, sous l’impulsion de Georges Mothron, Philippe Métézeau et Xavier Péricat, travaille sur le projet. Les Argenteuillais seront prochainement informés et consultés.

Au fil de ses tribunes et de ses interventions publiques, Philippe Doucet se prononce sans ambiguïté en faveur du cumul des mandats. Que fera le Député quand il s’agira de voter en juillet la loi sur le non-cumul promise par le candidat Hollande ? En tout état de cause, si la loi passe, elle produira ses effets dès 2017. Les électeurs tentés par le probable candidat Doucet aux municipales de 2014 devront savoir s’ils glissent dans l’urne un bulletin pour 3 ou pour 6 ans.
Comme tout député, Philippe Doucet touche des indemnités de représentation. Ces seules indemnités de représentation lui sont versées chaque mois à hauteur de 6 400 € brut. Mais, le Député-Maire ne doit pas porter les mêmes costumes à l’Assemblée qu’à Argenteuil. Il s’est en effet octroyé, en plus de ses indemnités de Maire, la somme de 9 000 € chaque année, également pour ses frais de représentation.

Avec 10 273 demandeurs d’emploi recensés sur Argenteuil début 2013, c’était près de 20 % des actifs qui étaient dépourvus d’emploi au sein de notre Ville. Face à cette crise, qui prend chaque jour plus d’ampleur, comment Argenteuil et la Communauté d’Agglomération informent, accueillent et orientent-elles les Argenteuillais touchés par le chômage ?

Des infos obsolètes, des structures qui ferment
Pour l’immense majorité des candidats en quête d’un emploi, internet constitue la première porte d’accès aux informations et aux annonces. Nous nous sommes donc logiquement tournés vers le site de la Ville d’Argenteuil (cliquez ici). Et là, première surprise ! La page dédiée à l’emploi semble s’être figée. On y parle d’ANPE (disparue en 2008), les actualités et les chiffres datent au mieux de 2011. Par les nombreux liens et mentions, nous comprenons toutefois que la structure d’accueil des demandeurs d’emploi au niveau de la Ville semble être la Maison De l’Emploi (MDE). Nous allons donc surfer sur le site de la MDE (cliquez ici) et là, seconde surprise ! Le site semble, lui aussi, en complet abandon. Les dernières offres d’emploi datent de 2012, les propositions de formation également (cliquez ici). Nous essayons de contacter la structure par téléphone. Mais nous sommes accueillis par un répondeur qui nous informe que notre correspondant est absent et que sa boîte vocale est saturée. De quoi en décourager plus d’un ! Bien entendu, nous savons que la Maison de l’Emploi, créée en 2007 par Georges Mothron, a fermé ses portes cette année. Pourquoi figure-t-elle alors encore sur les sites internet de la Ville et de l’Agglomération (cliquez ici) ? Pourquoi aucune réorientation n’a-t-elle été prévue ? La communication politique ou événementielle est décidément beaucoup mieux traitée et mise jour.

Une jungle de dispositifs sans guichet unique
L’Agglomération, présidée par Philippe Doucet, détient la compétence emploi. C’est à elle de mettre en place les dispositifs locaux financés par divers partenaires comme le Conseil général. Or, on constate qu’elle propose à ses administrés des services trop disparates et difficilement lisibles : la Mission Intercommunale qui conseille et oriente les 16-25 ans en matière de recherche d’emploi, de stage ou de formation ; le Plan Local pour l’Insertion et l’Emploi qui s’adresse aux jeunes ou adu-ltes en difficulté d’insertion socioprofessionnelle et le dernier-né, AB Emploi. La promesse de ce nouveau concept est simple et ambitieuse : «un travail à portée de clic». Ce service, accessible par internet et application sur smartphone agrège des offres d’emploi proposées par les entreprises implantées à Argenteuil ou à Bezons. Une idée qui paraît intéressante pour le développement économique local mais qui reste notoirement insuffisante et inadaptée aux demandeurs d’emploi argenteuillais. Un candidat ne limite heureusement pas ses recherches au territoire de sa ville. Il manque incontestablement un guichet unique, facilement identifiable, qui permette à tous les Argenteuillais en recherche d’emploi d’être accueillis et de recevoir des informations et une orientation personnalisées. La véritable jungle des structures et l’information défaillante qui sont aujourd’hui proposées aux Argenteuillais ne sont décidément pas à la hauteur de l’énorme enjeu social.

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Même si à l’heure actuelle, les faits doivent encore être établis avec précision par la Police et la Justice, je condamne avec la plus grande fermeté l’agression qui s’est déroulée jeudi dernier dans le centre-ville d’Argenteuil contre une femme de confession musulmane. Une agression qui rappelle celle qui s’est produite le 20 mai dernier dans notre Ville. Je condamne également les agissements violents contre la Police qui ont eu lieu ce mardi suite à un contrôle d’identité d’une femme portant le un voile intégral.
J’attends que tous les auteurs de ces faits soient identifiés, traduits en justice et qu’ils  reçoivent des sanctions exemplaires à la hauteur de la gravité de leurs agissements délictueux ou criminels. On ne peut laisser ce climat délétère perdurer au sein d’Argenteuil.
Même s’il n’est absolument pas question pour moi de trouver de quelconques excuses aux auteurs de ces faits, il est incontestable que ces actes s’inscrivent dans un climat local et national particulièrement dégradé et propice aux violences extrémistes.
La politique sociale, le dialogue avec les représentants religieux, la gestion de l’insécurité conduits par Philippe Doucet ces 5 dernières années ont malheureusement échoué. Ils ont abouti à de véritables fractures au sein de notre ville et tous les Argenteuillais en paient aujourd’hui le prix.
Les réformes gouvernementales idéologiques menées sans écoute et avec parfois beaucoup de mépris envers les Français ont aussi contribué à installer dans notre pays un climat de défiance et de division. Un climat qui, sur fond de crise économique et sociale sans précédent, constitue le meilleurs des terreaux aux événements tragiques telles que ceux qui se sont déroulés à Argenteuil ces dernières semaines.
Dans ce climat, les élus locaux ont un rôle primordial à jouer. C’est pourquoi, lors de la campagne municipale de 2014, je proposerai aux Argenteuillais un virage à 180 degrés de la politique municipale : une vraie politique de l’emploi et de l’insertion professionnelle car le travail est la solution à presque tous les maux sociaux ; une vraie politique sociale pragmatique, sincère et sans clientélisme car celle menée aujourd’hui dans notre ville n’est pas efficace et provoque trop d’amertume et de défiance de la part des individus et des communautés délaissées ; une vraie politique de sécurité qui ne se mesure pas au nombre de caméras de surveillance installées, comme c’est le cas aujourd’hui, mais qui redonne à la Police Municipale sa dignité et des missions sans équivoque du point de vue de leurs objectifs.
Il est urgent de reconstruire à Argenteuil les fondations d’un climat social apaisé.

Dès 9h30, soyez nombreux à venir rencontrer les élus de l’opposition municipale et échanger avec eux sur la vie quotidienne de votre quartier.

Les étapes :

• 1. Cité du Prunet - 9h30
• 2. Av. d’Argenteuil
• 3. rue des Lupins
• 4. Collège A. Camus
• 5. Sécurité Sociale Av. Jean-Jaurès
• 6. Rue des Myosotis
• 7. Rue du Troupeau
• 8. Rue du Val Notre Dame
• 9. Marché des Champioux - 11h45

L’histoire de la Friche Balzac a connu tant de rebondissements malheureux qu’un journaliste du Parisien l’a qualifiée de «friche maudite». En 2009, Philippe Doucet annonce en grande pompe l’installation de l’École Alsacienne. Il se risque même à donner sa date d’ouverture : ce sera à la rentrée 2012. Dès le début 2010, des rumeurs d’annulation commencent à courir. Le projet est ensuite reporté pour finalement être abandonné en juin 2012 (une semaine tout juste après les élections législatives). Aujourd’hui, le Maire promet l’installation d’un établissement scolaire privé catholique au grand dam de sa majorité. Certains de ses membres s’offusquent et invoquent le principe de laïcité. Il est fort à parier que le «Trou Balzac» est encore loin d’être comblé… Pourtant, lors de la précédente mandature, la majorité municipale conduite par Georges Mothron avait décidé de le requalifier en espace vert en attendant une concertation avec les habitants. Le financement de cette requalification dans le cadre de l’ANRU était même bouclé. En annulant cette décision et en préférant s’attacher à ses chimères, Philippe Doucet a privé les habitants du Val d’Argent Sud d’un formidable espace de détente et de loisirs au cœur même de leur quartier.

L’histoire moderne de l’urbanisme d’Argenteuil débute au lendemain de la 2nde Guerre mondiale. De 1945 au début des années 70, la population fait un bon de 90% et passe le cap des 100000 habitants. De ces 30 années d’urbanisme à marche forcée, reste une ville qui a du mal encore à trouver une vraie cohérence, un équilibre entre et à l’intérieur même de ses quartiers. Il y perdure également un vieux réflexe : celui de la densification et du bétonnage à tout prix, sans réelle vision d’ensemble. Si de 1980 à 2009, le rythme d’évolution de la population a été maîtrisé, il s’accroît dangereusement ces dernières années. Cette augmentation brutale de population au sein de nombreux quartiers entraîne une dégradation du cadre de vie et pose déjà des difficultés au quotidien. Ne serait-il pas le moment de faire une pause et de laisser Argenteuil respirer ?

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Le compte à rebours est lancé !
Après 1 an d‘inaction au niveau national en tant que député, et sur la dernière ligne droite avant les prochaines municipales, M. Doucet met toute la Communication de la ville en marche pour embellir l’histoire et pallier ses échecs.
Ce ne sont pas moins de 150 000 euros qui viennent d’être dépensés pour faire une campagne de ‘mobilisation’ sur les Berges de Seine. Ce projet important était déjà inscrit dans le Plan Local d’Urbanisme voté en 2007 sous le mandat de M. Mothron. Des travaux d’aménagement avaient d’ailleurs commencé sur les côtes de Larris. Mais depuis 2008, plus rien !
Tout est bon pour faire croire aux habitants que le Maire se sent concerné par l’aménagement et le cadre de vie des Argenteuillais.
En effet, après un échec de sa politique urbaine et de logement, qui se traduit par une densification démesurée et sans aucune mesure des impacts sur le scolaire, la petite enfance et la circulation, il lance à grand renfort de communication une révision du Plan Local d’Urbanisme, toujours aux frais du contribuable.
Alors qu’il faut deux ans pour mener à bien une vraie révision de PLU, que cherche-t-il avec cette manœuvre à 10 mois des élections ?
Dans l’attente, il fait une nième modification des règles d’urbanisme pour dit-il préserver les quartiers pavillonnaires. Alors qu’encore une fois, il s’agit d’accepter de construire encore plus et de permettre aux promoteurs de bétonner nos quartiers.
Il n’y a pas que la Communication qui est mise au pas, après la sortie du syndicat Azur et la dissolution de la Mission intercommunale Jeunesse qui ne répondaient pas à ses ordres, c’est maintenant autour du Centre social Conjugue, après 25 ans d’existence, d’être mis en péril par le Maire.
Là encore, la Communication de la Ville bat son plein pour refaire l’histoire et accuser cette association, pourtant agréée par la Caisse d'Allocations Familiales et financée par le Conseil général du Val d’Oise, de tous les maux !
Se soumettre ou disparaitre : c’est le visage d’une municipalité et d’élus qui ont fait perdre 5 années au développement de notre ville et qui, malgré leurs dissensions internes, restent ensemble afin de préserver leurs intérêts particuliers et la perception de leurs indemnités… bien loin des préoccupations des Argenteuillais.

Groupe des élus de l’opposition

contactaqna@orange.fr

20 % d’augmentation de la dette municipale sur la durée du mandat en cours (2008-2014), 3e place au palmarès des grandes villes françaises avec la plus forte dette par habitant, au Top 10 des villes les plus fiscalisées… L’état des finances d’Argenteuil suscite des interrogations et des polémiques.

Les Français connaissent les chiffres et les conséquences de l’escalade de l’endettement public national. Mais qu’en est-il sur le plan local ? Les collectivités locales françaises cumulent une dette de plus de 200 milliards d’euros que chaque Français doit aussi financer par ses impôts locaux. Cette situation commence à avoir des conséquences sur les services publics de proximité et sur la pression fiscale locale.