01/05/2014 |
Le 1er mai, muguet et fête du travail : pourquoi il faut mettre du vert à la boutonnière Source
La fête du 1er mai a une histoire bien plus ancienne qu'il n’y paraît. Elle est en quelque sorte le pendant printanier de la nuit d’Halloween (anciennement « Samain »). Cette fête de « Belteine » a elle aussi des origines celtes. Elle célébrait l’ouverture de la saison chaude, tandis que Samain ouvrait la saison froide. Lors de ces nuits magiques et dangereuses, le monde des morts se confondait avec celui des vivants. En Suède ou en Finlande, pour cette nuit de Walpurgis (le nom actuel de Belteine), les fillettes se déguisent encore en petites sorcières aux joues rouges avec des foulards fleuris et font du porte à porte dans l’espoir de récolter des friandises. Tout comme Noël, le carnaval et les fêtes de Pâques, le 1er Mai est un moment de passage marqué par des quêtes enfantines. Aujourd’hui, un grand nombre des coutumes se sont entremêlées avec le temps. Mais quelles que soient les traditions du 1er mai, elles ont en commun de mettre à l’honneur la végétation. Dans de nombreuses régions, en Alsace et en Franche-Comté par exemple, un rituel bien répandu consistait à « poser le mai » devant la porte des jeunes filles à marier qui trouvaient au petit matin un arbre ou une simple branche placée près de leurs maisons par les jeunes gens. Chaque branche déposée avait une signification bien particulière. Ainsi, si une jeune femme recevait une branche de charme, cela signifiait qu’elle était « charmante » ; une branche d’aubépine indiquait qu’elle avait du « caractère ». En revanche, si elle retrouvait du cerisier devant sa porte, cela voulait dire qu’elle était « volage ». Pour éviter les commérages, il arrivait aux mères de décrocher les branches injurieuses visant leur fille, avant le lever du jour ! Le mai collectif est un arbre provisoirement planté sur la place du village (souvent un bouleau), que les jeunes gens décorent de rubans, d’une couronne de verdure et de fleurs en papier crépon en l’honneur des jeunes filles de leur âge. Cette coutume a disparu dans les années 1950/1960 notamment avec l’exode rural et la disparition de certaines traditions villageoises. Le brin de muguet est venu autrement. Dans divers pays d’Europe, on a gardé longtemps l’habitude d’offrir des fleurs coupées à partir du 23 avril, jour de la Saint Georges, fête en relation avec le travail de la terre (« Georgios » signifiant « celui qui travaille la terre » en grec). Parce qu’il sent bon, qu’il se compose de clochettes (les cloches ont toujours été reliées à la chance) et qu’il était relativement rare dans les sous-bois, le muguet s’est progressivement imposé comme la végétation porte-bonheur. Cette fleur n’est pas dénuée d’histoire. En 1560, le chevalier Louis de Girard offre à Charles IX, visitant la Drôme, un brin de muguet. Charmé, le roi aurait repris ce geste pour offrir chaque année du muguet aux dames de la cour. C’était à la fois un porte-bonheur et un signe de courtoisie. Après les émeutes sanglantes de Chicago en 1888 pour l’obtention de la journée de huit heures, le parti American Federation of Labour décide une grève internationale en 1890. La date est prise : le 1er mai, jour de la fête de diverses corporations. Cette journée va devenir dévouée aux revendications syndicales dans les pays industrialisé. En France, le président Vincent Auriol en fera un jour chômé en 1947. Les ouvriers avaient pris l’habitude de mettre à leur boutonnière une fleur d’églantine à l’occasion du 1er mai. Cette idée de porter de la verdure au XIIIe siècle. Il était primordial de ne pas être vu « sans verd » sur soi lors des premiers jours de mai. Ce qui a donné l’expression « être pris sans vert », c’est-à-dire au dépourvu. La fortune du muguet étant liée au 1er mai, les ouvriers ont décidé en 1907 de s’en emparer. Désormais, ils porteraient le muguet à la boutonnière. Comme la Saint-Valentin, la célébration du 1er mai, encouragée par les fleuristes, est entrée dans nos habitudes pour des raisons commerciales. Il faut savoir que tout le monde de a le droit de vendre des brins de muguet. Il suffit pour cela d’être à 40 mètres d’un fleuriste. Le muguet est devenu un vrai commerce : près de Nantes notamment, des horticulteurs se sont spécialisés dans son exploitation et sa vente. En tout cas, une chose est sûre : parce qu’il est porte bonheur et, qu’il symbolise si joliment l’arrivée du printemps, le brin de muguet n’est pas prêt de disparaître et a encore de beaux jours devant lui. [...]
Cérémonies - Commémorations
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01/02/2014 |
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02/08/2013 |
Argenteuil : comment la guerre du voile s'est rallumée Source
Comme à Trappes, la colère monte dans cette ville du Val-d'Oise et les actes anti-musulmans se multiplient. Agathe Logeart démonte les mécanismes de cette bataille politico-religieuse.
Tout le monde avait oublié Argenteuil quand Trappes s'est embrasé, le 18 juillet, à la suite du contrôle par la police d'une femme portant le niqab. Pendant deux jours, ou plutôt deux nuits, les voitures ont flambé. Une première en France, où jamais des émeutes n'avaient été déclenchées pour protester contre l'"islamophobie". Mais à Argenteuil, où deux femmes affirment avoir été agressées parce qu'elles portaient un voile, que s'est-il vraiment passé ? Deux de plus, alors que les chiffres des agressions contre les musulmans ne cessent de croître... [...]
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Georges Mothron
Philippe Doucet
Religions
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01/08/2013 |
Manuel Valls : « L'islamophobie est le cheval de Troie des salafistes » Source
Comme le président de la République – et certaines associations vous en font le reproche –, vous parlez d’agressions "anti-musulmanes" et refusez d’utiliser le mot "islamophobes". Est-il tabou ? - Je suis ministre de l’Intérieur, il ne m’appartient pas de réglementer l’usage d’un mot. Les mots ont un sens, et le terme suscite la polémique. Moi, je choisis ceux que j’emploie. L’important est de souligner une réalité : les actes racistes et xénophobes exercés à l’encontre de nos compatriotes musulmans ont augmenté de 28% depuis 2012 ! [de 31% selon cet observatoire, NDLR] Mais, derrière le mot "islamophobie", il faut voir ce qui se cache. Sa genèse montre qu’il a été forgé par les intégristes iraniens à la fin des années 1970 pour jeter l’opprobre sur les femmes qui se refusaient à porter le voile. C’est au mot près l’argumentaire de l’essayiste Caroline Fourest, combattu par nombre de collectifs ou d’associations. Pour eux, pendant de l’antisémitisme, "[l']islamophobie" devrait être inscrite dans le discours public et dans la loi. Je crois que Caroline Fourest et avec elle d’autres intellectuels ont raison. Evidemment, le terme étant entré dans le langage courant, certains parlent "[d’]islamophobie" de bonne foi pour évoquer le racisme contre les arabo-musulmans. En revanche, d’autres, défenseurs d’un islam fondamentaliste –en particulier les salafistes – l’utilisent avec un objectif bien clair : empêcher toute critique de la religion et s’opposer aux principes de la République. Un fondamentaliste vous dira que brûler une mosquée, caricaturer le prophète Mahomet ou contrôler dans le respect de la loi une femme portant le voile intégral, c’est la même chose. Pour eux, il s’agit d’actes "islamophobes". Je ne peux, moi, accepter cette tautologie. Les sites djihadistes font exactement la même analyse. Ils veulent donner le sentiment que les musulmans, notamment dans nos banlieues, sont les victimes des lois de la République. On l’a bien vu récemment à Argenteuil et à Trappes, pour ne parler que de ces deux villes. Pour eux, une femme voilée intégralement est une victime non de l’obscurantisme intégriste, mais de l’institution républicaine qu’est la police ! Moi j’estime qu’il faut agir dans deux directions : combattre férocement ceux qui commettent des actes racistes à l’encontre des musulmans, et en même temps ceux qui s’en prennent aux institutions de la République. Pour les salafistes, "[l’]islamophobie" est un cheval de Troie qui vise à déstabiliser le pacte républicain. Observez-vous une montée du communautarisme ? - Nous sommes devant un défi bien plus grave. Certaines villes sont des mosaïques où le mélange des cultures et des religions peut être un enrichissement. Mais malgré de gros efforts de rénovation urbaine, le ghetto est là. C’est le cas à Trappes comme à Argenteuil. Sur fond de crise économique, de misère, il existe une crise d’identité très profonde d’une partie de notre jeunesse. Preuve manifeste : le nombre significatif de convertis, dont une minorité se radicalise, et qui montre qu’une autre loi s’impose à des gens qui ne sont pas de culture musulmane. A quoi s’ajoute une crise des institutions de l’islam de France, qui subit une pression très forte des salafistes. A Argenteuil, les auteurs des agressions dénoncées par deux jeunes femmes voilées n’ont toujours pas été retrouvés. Leur comité de soutien et leurs proches estiment que la police est bien plus efficace lorsqu’il s’agit d’agressions contre des juifs… La police et la justice font leur travail. Je ne peux pas accepter cette rhétorique malsaine. C’est une instrumentalisation par des intégristes. La victimisation par rapport aux juifs est une vieille technique antisémite. On dit alors que les juifs sont davantage protégés par les autorités que les musulmans. Un classique ! Cela dessert d’abord l’immense majorité de nos compatriotes de culture arabo-musulmane. On revient là au débat sur "[l']islamophobie"… Les agresseurs de musulmans sont toujours recherchés et condamnés avec une grande détermination. A Orléans, un homme vient d’être condamné à deux ans de prison, dont six mois ferme, pour avoir roué de coups et insulté trois femmes au motif qu’elles étaient arabes et musulmanes. L’Etat est là et bien là pour protéger tous les citoyens. Les mouvements islamistes radicaux exploitent-ils les agressions récentes contre des musulmans ? - A l’évidence. C’est le cas de gens souvent connus de nos services et qui n’hésitent pas, comme à Argenteuil ou à Trappes, à se déplacer dans une ville dont ils ne sont pas originaires pour créer l’agitation. Il s’agit pour eux de conquérir des espaces et des esprits. On observe aussi des intérêts communs entre groupes radicaux, à l’extrême droite et dans une partie de l’extrême gauche que j’appellerai différencialiste, pour créer la confrontation. A nous de tenir bon. Etes-vous inquiet ? - Oui. D’autant qu’il ne faut surtout pas confondre l’immense majorité de nos concitoyens musulmans avec des groupes radicaux qui sont à l’œuvre. Ils en sont les premières victimes. C’est donc aussi aux musulmans de France de trouver la force de les combattre aux côtés des pouvoirs publics.
Le piège du mot "Islamophobie" ( Caroline... par prochoix
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Ce qu'en pensent les suisses : http://www.reduitnational.com/france-argenteuil-trappes-des-futurs-kosovo-2/
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Manuel Valls
Sécurité
Religions
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27/03/2013 |
Laïcité : mes deux propositions pour respecter l'engagement de François Hollande Source
La décision du Conseil constitutionnel sur le régime concordataire d'Alsace-Moselle et celle de la Cour de Cassation à propos de la crèche Baby-Loup ont éveillé des inquiétudes sur le respect de la laïcité. Comment y remédier ? Le point de vue de Philippe Doucet, député-maire (PS) d'Argenteuil et responsable du groupe de travail parlementaire "Laïcité et cultes". Le Conseil constitutionnel, en février dernier, et la Cour de Cassation, il y a quelques jours, ont réinscrit la question de la laïcité à l'agenda politique. Ce n’est pas pour cela qu’il faut se précipiter dans une réponse partielle, ciblée ou de circonstance. Il ne s'agit pas de "haïr" une religion ou une autre mais de définir leur juste place dans la société française. La laïcité est la première alliée du vivre ensemble. La communauté de destin de notre Nation repose sur les valeurs communes qui nous permettent le vivre ensemble et lui donnent sens. Près d'un siècle et demi après les lois de la IIIe République qui ont fondé le socle républicain contemporain (liberté d’expression, liberté d’association, liberté syndicale, école obligatoire et laïque, séparation des églises et de l’État), retravailler ces principes essentiels permettrait non de les modifier mais de les faire vivre pleinement. C’est en revenant aux valeurs – les vrais repères d’une société démocratique –, en les approfondissant et en les confrontant au réel que l’on donnera l’occasion aux citoyens de se les réapproprier, presque personnellement, pour finalement les partager réellement. Le socle républicain n’est pas une religion. Il n’a pas besoin de grands prêtres, de dogmes, ni d’inquisition. Il doit être compris par tous pour être vécu au quotidien et porter pleinement ses effets bénéfiques sur la société. De la difficulté de faire évoluer la laïcité. Mais c'est plus simple à énoncer qu'à mettre en œuvre. D'abord, la loi du 9 décembre 1905, qui a généré une jurisprudence importante, repose sur un équilibre juridique subtil qu’une modification ou une réécriture risquerait de remettre en cause. Ensuite, le régime concordataire en Alsace-Moselle ainsi que les dispositions dérogatoires de l’outre-mer bénéficient d’un large consensus dans les territoires concernés, consensus qu’il serait inefficace et dangereux de remettre en cause brutalement. Enfin, la place de la laïcité dans les valeurs de la République apparaît aujourd’hui amoindrie. La société française est de plus en plus fragmentée d’identités d’inspiration religieuse, de plus en plus malmenée par les défiances réciproques qui opposent les tenants de ces identités et de plus en plus déchirée par l’intrusion du fait religieux dans le débat public.
C’est pourquoi, afin de respecter l’esprit de l’engagement 46 de François Hollande, j’ai formulé deux propositions :
1. Supprimer le délit de blasphème Il perdure dans le code pénal d’Alsace-Moselle aux articles 166 et 167. Sa suppression permettrait concrètement, en cohérence avec le corpus républicain en construction depuis 1870, de sortir d’un anachronisme incompréhensible aujourd’hui. En outre, elle permettrait de réaffirmer symboliquement la place de la laïcité, clé de voûte du vivre ensemble, et celle des religions, relevant de la sphère privée de chacun et ne pouvant prétendre, de ce fait, à une protection spécifique.
2. Enrichir l’article premier de notre Constitution L'article premier de la Constitution devra formuler explicitement la neutralité et l'impartialité de l'État, des services et des agents publics en matière de religion. C’est parce que le service public, pris dans son sens large, c’est-à-dire au sens de toutes celles et de tous ceux qui y concourent, est le bien commun de tous les citoyens qu’il ne peut être que profondément, intrinsèquement laïc.
Notre société n'a pas besoin de la laïcité punitive dont certains se font une rente électorale. Elle a, au contraire, besoin de faire progresser la laïcité, cette belle manière d'être citoyenne et citoyen. C'est plus que jamais nécessaire. [...]
VO news avait également relayé l'information : http://www.vonews.fr/article_20726
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Philippe Doucet
Religions
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05/09/2011 |
POUR LA REELECTION D'ALIMA BOUMEDIENNE-THIERY AU SENAT. Portrait par Mustapha Saha. Source |
Depuis les années quatre-vingt, Alima Boumedienne-thierry est une figure familière des mouvements sociaux en faveur des laissés pour compte, des combats pour les droits des immigrés, des femmes et de tous les exclus de la société normative. Native d’Argenteuil, enfant emblématique des banlieues déshéritées, elle collectionne les diplômes universitaires et s’engage résolument dans une lutte ininterrompue pur l’égalité républicaine. Scandalisée par la marginalisation socio-urbaine des petits revenus, par la généralisation des discriminations administratives et socioprofessionnelles, par l’indéginisation des citoyens français d’origine immigrée, elle est au cœur des luttes pour la justice sociale, pour le droit de vote des immigrés aux élections territoriales, pour la régularisation des sans-papiers. [...]
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Alima Boumedienne-Thierry
Sénatoriales 2011
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26/03/2011 |
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17/03/2011 |
Cantonales : le Val-d'Oise pourrait basculer à droite Source
Didier Arnal ne doit la présidence que grâce au renfort d'un élu centriste. L'UMP compte sur les divisions de la gauche pour gagner au moins un siège.
Si les sondages annoncent des élections cantonales difficiles nationalement pour la droite, localement, l'UMP peut espérer quelques succès. Le Val-d'Oise est, avec la Seine-et-Marne, un des deux départements d'Ile-de-France susceptible de basculer à droite.
La gauche ne détient la majorité que d'un seul siège, alors que 19 cantons sur 39 sont en jeu les 20 et 27 mars. [...]
Un point intéressant à noter, la gauche est toujours "républicaine", dans les discours de gauche, tandis que la droite est toujours "conservatrice". On doit apprendre à parler comme ça, à tous les apprentis hommes politiqes, rue de Solférino ...
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Philippe Métézeau
Arnaud Bazin
Didier Arnal
Robert Daviot
Cantonales 2011
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14/10/2010 |
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12/10/2010 |
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06/10/2010 |
Les élections cantonales auront lieu les 20 et 27 mars 2011 Source |
Plusieurs enjeux pour ce scrutin : ce sera les dernières cantonales avant l'arrivée de la réforme territoriale, et le dernier test électoral avant la présidentielle.
Les dates des prochaines élections cantonales sont désormais connues : les Français voteront les 20 et 27 mars 2011. Le calendrier a été officialisé lors du Conseil des ministres de ce mercredi 6 octobre. Les élections cantonales servent à élire les conseillers généraux, qui gèrent les départements.
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Les cantonales seront aussi le dernier test électoral avant l'élection présidentielle, l'année suivante. Or, les précédentes élections intermédiaires n'ont guère réussi à l'UMP. Le parti de Nicolas Sarkozy a perdu de nombreuses villes lors des municipales de 2008 (dont Toulouse, Strasbourg, Amiens, Argenteuil, Rouen, Caen, Metz, Reims…), ainsi que 6 départements lors des cantonales. [...]
Cantonales 2011
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23/08/2010 |
Nouvelle plainte d'un élu UMP contre le Quick Halal Source |
Le jeune Président de "L’Ordre Républicain", en guerre contre le Quick halal, Charles Aslangul, 21 ans, a déposé une nouvelle plainte contre Quick pour "discrimination", auprès, cette fois, du procureur de la République de Pontoise, a fait savoir lundi 23 août l'association.
"Notre première plainte ayant été classée sans suite par le procureur de Créteil, nous réitérons notre action, déterminés à faire gagner la Laïcité, à faire gagner la République !", écrit-il dans un communiqué envoyé à Nouvelobs.com, ajoutant qu'"il est scandaleux de voir qu’une entreprise détenue à 94% par l’Etat, laïc, fasse une telle offre communautariste". [...]
Viande Halal
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09/08/2010 |
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28/06/2010 |
François Fillon appelle les musulmans français à rejeter l'extrémisme Source |
"En renvoyant une image sombre et sectaire, les personnes qui dissimulent leur visage au prétexte de leur foi sont consciemment ou non les opposantes à l'islam de France", a affirmé le Premier ministre en inaugurant une mosquée à Argenteuil.
François Fillon a appelé les musulmans de France à prendre leurs distances avec l'extrémisme, lors de l’inauguration d’une mosquée lundi 28 juin à Argenteuil, dans la banlieue parisienne.
L’inauguration de l’édifice religieux est une première pour un responsable politique de ce niveau sous la Ve République. Pour le maire socialiste Philippe Doucet, il s’agit toutefois d’une manière de "racheter la faute du gouvernement sur le mauvais débat sur l'identité nationale".
Dans un discours devant la communauté musulmane, le Premier ministre a qualifié le port de la burqa de "caricature" de l'islam, invitant à faire "gagner l'intelligence contre l'obscurantisme". [...]
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Philippe Doucet
François Fillon
Brice Hortefeux
Religions
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28/04/2010 |
Les impôts locaux toujours à la hausse
Selon une étude du Forum pour la gestion des villes, les impôts locaux pourraient augmenter de 2,8 % en 2010 dans les 41 plus grandes villes françaises.
Selon une étude du Forum pour la gestion des villes, les impôts locaux, à savoir la taxe d’habitation et la taxe foncière, pourraient augmenter de 2,8 % en 2010 dans les 41 grandes villes françaises de plus de 100 000 habitants. Hormis en 2009, où les impôts locaux avaient bondi de + 5,2 %, cette hausse devrait être la plus forte jamais enregistrée ...
De nouveau est mentionnée une diminution de 0,3% de la TH à Argenteuil !!! Qui a réussi le tour de force de réussir à faire avaler cette couleuvre aux différentes rédactions ?
Impôts, finances et fonction publique
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02/03/2010 |
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20/02/2010 |
Blog de Pierre Kanuty : Soumaré, l’anti-Ponia
Delattre est un récidiviste. En s'en prenant une fois de plus à Ali Soumaré, la tête de liste socialiste dans le Val d'Oise, le maire UMP de Franconville et son complice, Axel Poniatowski ont montré que sous le vernis de la respectabilité d'un élu local, peut exister une nature plus sombre. Poniatowski, maire de la très bourgeoise bourgade de l'Isle Adam est aussi un aspirant diplomate qui préside la Commission des Affaires étrangères à l'Assemblée nationale - il cumulera donc trois mandats s'il est élu conseiller régional. Mais, là, la diplomatie, tradition familiale puisque dans l'arbre généalogique de la famille figure le diable boiteux, Talleyrand, a cédé devant le gène du flic venu directement de papa, Michel Poniatowski, l'ancien ministre de la police et complice de Giscard. D'ailleurs, Ponia junior et Giscard junior siègent côte à côte sur les bancs de l'Assemblée ...
Ou comment, sous prétexte de défendre M. Soumaré, victime d'un soit-disant racisme de droite, on en arrive à un texte partisan ... tout candidat du PS, de plus issu d'une "minorité visible" (je ne supporte pas cette expression qui stigmatise au lieu d'intégrer), est un pur à qui l'on ne peut rien reprocher !
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Valérie Pécresse
Axel Poniatowski
Ali Soumaré
Francis Delattre
Régionales 2010
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19/02/2010 |
Deux élus UMP balancent une sorte de "casier judiciaire" de leur concurrent PS
Le document cite cinq affaires qui concerneraient Ali Soumaré, tête de liste PS pour les régionales dans le Val d'Oise. Mais quand on leur demande comment ils se sont procuré les éléments, les réponses sont embarrassées. Et plus: l'une des affaires n'est même pas encore jugée…
Francis Delattre et Sébastien Meurant, maires UMP de Franconville et Saint-Leu-la-Forêt (Val-d'Oise), ont envoyé, vendredi 19 février, un communiqué détonnant à plusieurs rédactions. Appelant le Parti socialiste à retirer la candidature d'Ali Soumaré, tête de liste dans le Val-d-Oise aux régionales, ils qualifient ce dernier de "délinquant multirécidiviste chevronné". Et de joindre au communiqué de présumées infractions, condamnations et procédures en cours attribuées à Ali Soumaré.
Francis Delattre affirme ainsi que "contrairement à l'objectif de promouvoir un jeune de nos quartiers, cette candidature ne peut être exemplaire et elle est outrageante pour la démocratie".
Le maire de Franconville demande à Martine Aubry, "si intransigeante sur les principes" et à Jean-Paul Huchon, "si cynique dans sa stratégie électoraliste" que la candidature d'Ali Soumaré soit retirée.
Intitulé "Ali Soumaré : un délinquant multirécidiviste", le document contient 5 accusations contre le candidat PS, les faits allant de 1999 à 2009 ...
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Jean-Paul Huchon
Martine Aubry
Ali Soumaré
Francis Delattre
Régionales 2010
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30/01/2010 |
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